Château de Fougères

Réalité virtuelle

Réalité augmentée

Nouveau modèle économique

Analyse expérience visiteur

Place Pierre Symon, 35300 Fougères
02 99 99 79 59

Un livre d’histoire et d’architecture médiévale en pierre : le château de Fougères raconte ses mille ans !

Dans la vallée encaissée de la rivière Nançon, sur un promontoire rocheux, la forteresse médiévale de Fougères se dresse depuis près de mille ans. Ses tours formidables ont veillé pendant de nombreux siècles sur les portes du Duché de Bretagne, au cœur de la région frontalière des Marches. Au gré des batailles et des seigneurs qui se sont succédé, la place forte fut sans cesse améliorée : les différentes campagnes de travaux en font un véritable vaisseau de guerre, paré pour les sièges et construit selon les meilleurs techniques de chaque époque.

Chiffres clés

106 000 Le nombre de visiteurs en 2017
12 Le nombre de tours dans le château
1000 L’âge du château, qui s’élève à cet endroit depuis mille ans !

La construction du château a été le fruit du travail de plusieurs siècles et de plusieurs générations. Il est aujourd’hui un modèle d’architecture qui permet de comprendre les grandes évolutions techniques du monde Médiéval. Par ailleurs, il fut au cœur des grands moments de l’histoire nationale et régionale. La re-création virtuelle est un excellent moyen de retrouver le château tel qu’il pouvait être autrefois afin de mieux comprendre l’Histoire et son histoire.

Une vision du château à travers différentes époques permettra d’entrevoir les grandes périodes construction et les grandes évolutions techniques. Les outils donneront des vues des différents ensembles du château (les trois cours, le logis) à des moments de l’histoire choisis (XIIe, XIIIe, XIV et XVe siècles). De cette manière, en retrouvant l’aspect originel de ces espaces, le visiteur pourra mieux comprendre leurs fonctions.

« Ce château est vraiment au-dessus et au-delà de tout ce que l’on peut dire... Je ne suis pas sûr que Fougères ne soit pas le plus beau de tous ». Laurence d’Arabie, lettre du 26 août 1907